La phrase / La question / Les bénéfices

Intérêt

Avoir un poids stable et idéal est un sujet qui nous concerne tous. Dans un premier temps, nous avons indiqué qu’il fallait nourrir deux récipients, l’un basé sur nos émotions, l’autre concerne notre physiologie. Puis nous avons indiqué quelques trucs et astuces pour mieux apprécier la quantité à ingérer. Passons à la suite.

Quelques idées clés concernant la partie psychologique :

      La première idée : Les régimes ne marchent pas à long terme. C’est ce que j’ai pu retenir de conversations de nombreuses personnes avec qui j’ai discuté. En effet, dans un premier temps, il y a le succès de la perte de poids. Sauf que tout ou tard, l’effet rebond réapparait en nous faisant reprendre au minimum le poids que nous avions perdu. L’explication à cela est que nous traitons le problème de la perte de poids avec la mauvaise aire de notre cerveau. Durant la perte de poids, c’est l’aire préfrontal qui nous fait nous adapter à la situation actuelle. D’où le résultat escompté. Sauf que la source du problème est souvent psychologique. Ceci peut être lié à des habitudes de compensation très anciennes qui se trouvent dans la partie non consciente de notre cerveau. Donc tout ou tard, elles reviendront supplanter les nouvelles habitudes crées. Pourquoi : parce que nos décisions sont prises par la même aire que l’endroit où se trouvent ces anciennes habitudes. Et nous n’avons aucun moyen d’agir sur elles de manière évidente.

      Les techniques qui marchent vont devoir nous faire prendre conscience de ce qui nous fait compenser, puis créer un nouveau comportement plus adapté. En effet, nous disons que lorsque nous en avons conscience, c’est 80% du problème résolu. A titre d’exemple : si vous voyez un trou noir sur le trottoir, je suis sûr que vous allez l’éviter…

      Par contre, malgré le fait que nous connaissions les conséquences à long terme de l’effet rebond, nos habitudes nous font quand même marcher dans ce trou.

 

Donc, c’est un peu avant cette étape, que nous allons utiliser une des propriétés de la cohérence cardiaque. Il s’agit de la capacité à envoyer un signal de calme de forte intensité généré par le cœur, qui supplante la communication entre les aires du cerveau, pour éviter la mise en place de l’action de la compensation par l’inconscient.

 

Dans nos cours, on appelle cela la méthode pause réflexion. Cette méthode est utilisée fréquemment en médecine dans le domaine de l’addiction.

Les conclusions :

En synthèse :

1 – D’abord prendre conscience de la compensation, s’arrêter pour observer comment cette habitude se déclenche. Dans 80% des cas, c’est suffisant pour changer de décision.

2 – Si cela n’est pas suffisant, utiliser la méthode pause réflexion.

 C’est à dire pratiquer la cohérence cardiaque jusqu’à ce que vous retrouviez votre calme. En effet, plus les personnes arrivent à générer un puissant état de cohérence cardiaque, plus elles ont la possibilité de créer de nouveaux comportements adaptés.

 

Le défi ici est de mettre en œuvre la cohérence cardiaque avant que l’action de compensation soit opérationnelle. 

La bonne nouvelle, déclencher un état de calme avec la cohérence cardiaque est une habitude assez facile à mettre en œuvre, car notre corps en perçoit très rapidement les bénéfices de bien-être à court et long terme.